« Je vous propose d’évoquer ensemble des solutions qui protègeraient financièrement votre famille en cas de décès et de maintenir leur niveau de vie, qu’en pensez-vous ? »
Mon Assurance Décès
Passerelles à évoquer :
« Nous venons de mettre en place un capital pour protéger vos proches s’il vous arrivait quelque chose. Afin de compléter votre protection notamment pour vos proches, je vous propose également une solution qui soulagera vos proches de la charge morale et financière de vos obsèques le moment venu. Qu’en pensez-vous ? »
- Je suis trop jeune
- « En effet, aujourd’hui, vous avez [ XXX € ] sur vos différents comptes épargne et cela peut couvrir le financement des obsèques. Mais quel était le but de cette épargne? L’offre que je vous propose est une solution dédiée. En complément du volet, financement, elle intègre un volet assistance qui permet de soulager vos proches de l’organisation et de la coordination des obsèques lors de ce moment difficile. Souhaitez-vous que je revienne sur les diverses prestations d’assistance ou … ? »
- L’objection est le signe que le client vous écoute
- Une méthode de traitement des objections :
- Accepter : très bien, je comprends.
- Creuser : pouvez-vous m’en dire plus ? Sur quels éléments dois-je revenir ?
- Traiter : selon l’objection formulée ?
- Enchaîner : qu’en pensez-vous ?
- J’ai mal été indemnisé
- « J’entends, c’est pourquoi je vous propose d’adapter le niveau de garantie à vos besoins de couverture et également à vos souhaits de prise en charge, qu’en dites-vous ? »
- Je suis engagé auprès de mon assureur
- « Avec la Loi Hamon / Lemoine, les contrats de plus d’un an sont résiliables à tout moment. C’est simple, je m’occupe de toutes les formalités, qu’en dites-vous ? »
- J’en parle à mon conjoint/e
- « Très bien je comprends tout à fait. Dans la mesure où votre conjoint est d’accord, vous, qu’en pensez-vous ? Seriez-vous prêt à nous faire confiance ? »
- J’ai déjà fait des devis
- « Très bien, quand avez-vous réalisé vos devis ? Nos offres évoluent régulièrement. Je vous propose de les revoir ensemble, qu’en dites-vous ? »
- Je vais réfléchir / Je n’ai pas le temps
- « Je comprends que vous souhaitiez prendre le temps de la réflexion. Vous souhaitez réfléchir sur quels points de ma proposition ? Avez-vous besoin d’autres précisions ? Les solutions que nous avons évoquées ensemble seront disponibles dans votre espace personnel / appli MaBanque / LCLMesComptes, je vous laisse en prendre connaissance, est-ce bon pour vous ? »
- Je ne mélange pas banque et assurance
- « Je comprends votre point de vue.
- C’est important pour vous de faire confiance à un spécialiste de l’assurance ? Ça tombe bien, cela fait depuis 1980 que nous proposons des solutions d’assurance. Savez-vous que nos garanties sont reconnues régulièrement par la presse et les consommateurs ? Etes-vous rassuré ?
- A quand remonte votre dernier contact avec votre assureur ? Nous avons tout intérêt à vous proposer des assurances de qualité car en cas de sinistres cela peut impacter votre budget et votre épargne. »
- C'est trop cher
- « Je comprends que le prix soit un critère important. En dehors de cela, est-ce que les garanties évoquées ensemble vous conviennent ? Au Crédit Agricole / LCL, nous proposons une couverture de qualité, et une tarification en corrélation avec nos garanties. Nos formules sont modulables et s’adaptent à vote budget. Revenons ensemble sur les garanties choisies. »
- Le tarif augmente vous voulez gagner plus d’argent
- « Je comprends votre point de vue, l’augmentation tarifaire est en lien direct avec l’accroissement des sinistres liés aux évènements climatiques. Tous les assureurs sont impactés. »
- Si vous ne baissez pas vos prix, je clôture tout
- « M. X, je comprends que cela représente un certain budget pour vous. J’ai à cœur de vous proposer des solutions adaptées à vos attentes en cas de sinistre. Nous pouvons revoir ensemble vos couvertures et prioriser celles qui vous sont essentielles. »
- Je vais faire appel à la concurrence
- « J’entends M. X. Cependant nous observons que certains assureurs se désengagent de certains territoires en fonction des risques à couvrir. En tant que banquier assureur mutualiste, nous assurons tous nos clients, quel que soit leur lieu d’habitation. »
- Je vais réduire mes garanties
- « Je comprends vos priorités. Cependant j’attire votre attention, vous serez couvert dans les limites des garanties souscrites. Il est possible que vous ayez un reste à charge après sinistre. »
- Je vais résilier mon assurance, ça ne sert à rien
- « Le rôle des assurances est de vous couvrir en cas de sinistres. Sans cette couverture, auriez-vous la capacité financière de faire face à cette dépense ? »
« Nous venons de mettre en place un capital pour protéger vos proches s’il vous arrivait quelque chose. Au-delà de ce budget et afin qu’il ne soit pas compromis face à des aléas de santé, je vous propose de compléter votre protection concernant votre besoin de prise en charge de vos frais de santé et de préserver votre budget, qu’en pensez-vous ? »
- Je ne suis jamais malade / Je suis jeune
- « En effet et tant mieux, cependant on ne peut jamais prévoir un accident, une hospitalisation ou encore des soins dentaires. Je vous propose une solution avec les garanties essentielles qui s’adaptent à vos besoins sur simple appel téléphonique. C’est immédiat et sans délai de carence. Qu’en pensez-vous ? »
- L’objection est le signe que le client vous écoute
- Une méthode de traitement des objections :
- Accepter : très bien, je comprends.
- Creuser : pouvez-vous m’en dire plus ? Sur quels éléments dois-je revenir ?
- Traiter : selon l’objection formulée ?
- Enchaîner : qu’en pensez-vous ?
- J’ai mal été indemnisé
- « J’entends, c’est pourquoi je vous propose d’adapter le niveau de garantie à vos besoins de couverture et également à vos souhaits de prise en charge, qu’en dites-vous ? »
- Je suis engagé auprès de mon assureur
- « Avec la Loi Hamon / Lemoine, les contrats de plus d’un an sont résiliables à tout moment. C’est simple, je m’occupe de toutes les formalités, qu’en dites-vous ? »
- J’en parle à mon conjoint/e
- « Très bien je comprends tout à fait. Dans la mesure où votre conjoint est d’accord, vous, qu’en pensez-vous ? Seriez-vous prêt à nous faire confiance ? »
- J’ai déjà fait des devis
- « Très bien, quand avez-vous réalisé vos devis ? Nos offres évoluent régulièrement. Je vous propose de les revoir ensemble, qu’en dites-vous ? »
- Je vais réfléchir / Je n’ai pas le temps
- « Je comprends que vous souhaitiez prendre le temps de la réflexion. Vous souhaitez réfléchir sur quels points de ma proposition ? Avez-vous besoin d’autres précisions ? Les solutions que nous avons évoquées ensemble seront disponibles dans votre espace personnel / appli MaBanque / LCLMesComptes, je vous laisse en prendre connaissance, est-ce bon pour vous ? »
- Je ne mélange pas banque et assurance
- « Je comprends votre point de vue.
- C’est important pour vous de faire confiance à un spécialiste de l’assurance ? Ça tombe bien, cela fait depuis 1980 que nous proposons des solutions d’assurance. Savez-vous que nos garanties sont reconnues régulièrement par la presse et les consommateurs ? Etes-vous rassuré ?
- A quand remonte votre dernier contact avec votre assureur ? Nous avons tout intérêt à vous proposer des assurances de qualité car en cas de sinistres cela peut impacter votre budget et votre épargne. »
- C'est trop cher
- « Je comprends que le prix soit un critère important. En dehors de cela, est-ce que les garanties évoquées ensemble vous conviennent ? Au Crédit Agricole / LCL, nous proposons une couverture de qualité, et une tarification en corrélation avec nos garanties. Nos formules sont modulables et s’adaptent à vote budget. Revenons ensemble sur les garanties choisies. »
- Le tarif augmente vous voulez gagner plus d’argent
- « Je comprends votre point de vue, l’augmentation tarifaire est en lien direct avec l’accroissement des sinistres liés aux évènements climatiques. Tous les assureurs sont impactés. »
- Si vous ne baissez pas vos prix, je clôture tout
- « M. X, je comprends que cela représente un certain budget pour vous. J’ai à cœur de vous proposer des solutions adaptées à vos attentes en cas de sinistre. Nous pouvons revoir ensemble vos couvertures et prioriser celles qui vous sont essentielles. »
- Je vais faire appel à la concurrence
- « J’entends M. X. Cependant nous observons que certains assureurs se désengagent de certains territoires en fonction des risques à couvrir. En tant que banquier assureur mutualiste, nous assurons tous nos clients, quel que soit leur lieu d’habitation. »
- Je vais réduire mes garanties
- « Je comprends vos priorités. Cependant j’attire votre attention, vous serez couvert dans les limites des garanties souscrites. Il est possible que vous ayez un reste à charge après sinistre. »
- Je vais résilier mon assurance, ça ne sert à rien
- « Le rôle des assurances est de vous couvrir en cas de sinistres. Sans cette couverture, auriez-vous la capacité financière de faire face à cette dépense ? »
« Nous venons de mettre en place un capital pour protéger vos proches s’il vous arrivait quelque chose. En cas d’accident de la vie privée telle qu’une chute, qu’avez-vous prévu en cas d’immobilisation par exemple ? Évoquons les solutions existantes. »
- J’ai une assurance Habitation
- « Votre assurance habitation vous couvre en cas de blessures accidentelles faisant suite à un sinistre garanti comme l’incendie, le dégât des eaux… en dehors de ces circonstances particulières elle n’intervient pas. L’assurance habitation ne s’active pas dans le cas d’un accident du quotidien, (chute dans les escaliers, coupure en cuisinant…) dans ou hors de votre domicile. »
- Il y a déjà ma mutuelle / Il y a la Sécurité Sociale
- « En cas de blessures accidentelles, certains frais médicaux, seront, en tout ou en partie, pris en charge par la Sécurité Sociale et/ou selon les garanties de votre Complémentaire Santé. Malheureusement les conséquences financières de l’accident, quant à elles, ne seront pas prises en charge par la Sécurité Sociale. Il est important d’en parler. »
- Je suis prudent / Je n’ai pas de jardin / Je ne fais pas de sport
- « Un accident, une chute dans les escaliers, une blessure en cuisinant, n’est pas prévisible, pour autant cela peut avoir de graves conséquences. Je vous propose d’évoquer les solutions qui existent, qu’en dites-vous ? »
- L’objection est le signe que le client vous écoute
- Une méthode de traitement des objections :
- Accepter : très bien, je comprends.
- Creuser : pouvez-vous m’en dire plus ? Sur quels éléments dois-je revenir ?
- Traiter : selon l’objection formulée ?
- Enchaîner : qu’en pensez-vous ?
- J’ai mal été indemnisé
- « J’entends, c’est pourquoi je vous propose d’adapter le niveau de garantie à vos besoins de couverture et également à vos souhaits de prise en charge, qu’en dites-vous ? »
- Je suis engagé auprès de mon assureur
- « Avec la Loi Hamon / Lemoine, les contrats de plus d’un an sont résiliables à tout moment. C’est simple, je m’occupe de toutes les formalités, qu’en dites-vous ? »
- J’en parle à mon conjoint/e
- « Très bien je comprends tout à fait. Dans la mesure où votre conjoint est d’accord, vous, qu’en pensez-vous ? Seriez-vous prêt à nous faire confiance ? »
- J’ai déjà fait des devis
- « Très bien, quand avez-vous réalisé vos devis ? Nos offres évoluent régulièrement. Je vous propose de les revoir ensemble, qu’en dites-vous ? »
- Je vais réfléchir / Je n’ai pas le temps
- « Je comprends que vous souhaitiez prendre le temps de la réflexion. Vous souhaitez réfléchir sur quels points de ma proposition ? Avez-vous besoin d’autres précisions ? Les solutions que nous avons évoquées ensemble seront disponibles dans votre espace personnel / appli MaBanque / LCLMesComptes, je vous laisse en prendre connaissance, est-ce bon pour vous ? »
- Je ne mélange pas banque et assurance
- « Je comprends votre point de vue.
- C’est important pour vous de faire confiance à un spécialiste de l’assurance ? Ça tombe bien, cela fait depuis 1980 que nous proposons des solutions d’assurance. Savez-vous que nos garanties sont reconnues régulièrement par la presse et les consommateurs ? Etes-vous rassuré ?
- A quand remonte votre dernier contact avec votre assureur ? Nous avons tout intérêt à vous proposer des assurances de qualité car en cas de sinistres cela peut impacter votre budget et votre épargne. »
- C'est trop cher
- « Je comprends que le prix soit un critère important. En dehors de cela, est-ce que les garanties évoquées ensemble vous conviennent ? Au Crédit Agricole / LCL, nous proposons une couverture de qualité, et une tarification en corrélation avec nos garanties. Nos formules sont modulables et s’adaptent à vote budget. Revenons ensemble sur les garanties choisies. »
- Le tarif augmente vous voulez gagner plus d’argent
- « Je comprends votre point de vue, l’augmentation tarifaire est en lien direct avec l’accroissement des sinistres liés aux évènements climatiques. Tous les assureurs sont impactés. »
- Si vous ne baissez pas vos prix, je clôture tout
- « M. X, je comprends que cela représente un certain budget pour vous. J’ai à cœur de vous proposer des solutions adaptées à vos attentes en cas de sinistre. Nous pouvons revoir ensemble vos couvertures et prioriser celles qui vous sont essentielles. »
- Je vais faire appel à la concurrence
- « J’entends M. X. Cependant nous observons que certains assureurs se désengagent de certains territoires en fonction des risques à couvrir. En tant que banquier assureur mutualiste, nous assurons tous nos clients, quel que soit leur lieu d’habitation. »
- Je vais réduire mes garanties
- « Je comprends vos priorités. Cependant j’attire votre attention, vous serez couvert dans les limites des garanties souscrites. Il est possible que vous ayez un reste à charge après sinistre. »
- Je vais résilier mon assurance, ça ne sert à rien
- « Le rôle des assurances est de vous couvrir en cas de sinistres. Sans cette couverture, auriez-vous la capacité financière de faire face à cette dépense ? »